dimanche 9 décembre 2012

Tangerine Dream Dancing On A White Moon


Dancing on a white moon with a twist like a century breeze
Moving through a typhoon, feel it sticking it's a cap on a dream
Brother done what we learn
God had us start to roll.
Occasionally feeling, the rust of love in my soul.
You're not in my mind, don't need you.
Whatever love I can find, I won't need you.
With my emotional life.
Aimless dreams chase in my heart,
Feeling like a loser in an unknown game.
Walking just a fool in the backyard,
Getting wounded by the timeless jealous flame.
Touching my heart like a silver knife,
As if drawn in a newsprint cartoon.
Yelling for love!
While dancing on a white moon.
You're not in my mind, don't need you.
Whatever love I can find, I won't need you.
With my emotional life.
There's a freight train running through my brain,
A restless ego is a part of it's wheels.
Silver flashes harbored in the shame,
Burning all that my soul feels.
As the sun shines bright on both evil and good,
So let the Light of your eyes shine on me!
Respecting your way, yes I would,
Tied up by the rising tide of my dark sea.
You're not in my mind, well I need you.
Whatever love I can find, I will feed you.
Through this emotional life.
Again, you're not in my mind, well I need you.
Whatever love I can find, I will feed you.
Through this emotional life.
{ A Song That Pleased Me}

vendredi 7 décembre 2012

Paradoxe

Marionnettes, c'est ce que le genre humain est devenu..
La vision est à peine claire, le mal est censé être distingué du bien, pourquoi alors tout se mélange de nos jours?
Parfois, on se sent seul, un navire perdu dans un océan aussi large que l'univers, cherchant une fin, une bonne fin.. Mais cherchant d'abord un compagnon, peu  importe le tout s'il connait la destination, pour lui tenir la main solitaire, l'aider à rester ferme et à espérer, le temps qu'on se trouve à bord ensembles... Sur cette petite île incomparable à ce que l’œil n'avait jamais pu voir.
Mal, quand on se rappelle de ce qu'on a pu éviter, de ce qu'on a pu faire.. 
Mal, quand on se rappelle des moments du bonheur éphémère qu'on a pu rendre une éternité de satisfaction mutuelle.
Mal, quand on essaye d'être ferme sur la voie qu'on a choisi, qu'on voit juste, alors que tout nous pousse à dériver, à changer de direction, à changer de territoire. 
Mal, quand on est entouré, mais seul, quand on essaye de voir le bien dans le mal, et le mal dans les autres pour ne pas s'accuser et mourir, les yeux ouverts, une agonie, dans l'obscurité qu'on s'est crée.
Mal, quand on se sent un étranger, quand le monde nous accuse de crime qu'on croit réalité, qu'on crie son innocence, sa légitimité, sa pureté.
La voie est pourtant claire.. Ce sont nos cœurs qui se sont affaiblis, nos yeux qui se sont voilés pour écrire notre mort.. notre fin dramatique..
Dieu est plus miséricordieux envers nous que nous envers nous même.. 
Nous sommes des ogres qui s'avalent, des chiens qui trahissent, perdant la fidélité, la seule qualité qu'ils se voient posséder.
 Nous les couteaux qui nous tranchent, et le sel sur nos injures non guéris..
Patience, toute une vie de patience, sans se victimiser, sans aussi s'opprimer..
Se pardonner, difficile de se pardonner quand on vit dans un enfer inaperçu.. 
Qu'on apaise nos douleurs et on fait taire nos souvenirs.. Par une prière ou deux, par une invocation ou plusieurs.. 
Espérons, de Celui qui est doté de pouvoir, de personne d'autre que de Celui qui détient nos cœurs, Celui qui pardonne, Le Plus Doux, Celui qui guide les navires perdus, Celui qui apaisera certainement nos âmes.. 
Croire en Lui, croire en sa miséricorde, ce ne sont pas que des mots, ce sont des sentiments, un bien être quoi q'il arrive, une confiance sans doute, sans condition.. C'est  sourire quand on marche sur les flammes, c'est  voir l'épreuve dans le mal, car en effet c'est la manière dont on s'accuse qui décidera de notre avenir.. 
C'est d'essayer de Le satisfaire, de L'aimer plus que nous même pour ne pas provoquer Sa jalousie..
Perdre espoir en soi, c'est perdre espoir en le Tout Puissant, puisque c'est Lui qui détient les cœurs, c'est Lui qui les change, et c'est Lui qui les apaise d'un clin d’œil.. 
Nous sommes, la lumière dans cette obscurité, le chemin qui mène à la finalité, nous sommes des exceptions dans un monde de copies.. dans un monde de tord, dans un monde sans réalité, sans une juste valeur, sans douceur et sans fermeté.

lundi 26 novembre 2012

Rêveuse, condamnée..

La nuit de milles et une nuits... La nuit de la pudeur, la nuit de la pureté.. La nuit de la perfection sublime... Les gouttelettes de rosée... 
Se sentir toute prés de l'inconnu.. qui demeure un inconnu.. 
Une nuit bien qu'illuminée, elle demeure une nuit.
Rares sont les moments de sincérité.. Rares sont les instants de prospérité...
Se croire immortel alors qu'on est une poussière éphémère...
Une trentaine de journées les pieds sur terre la tête sur les nuages, la tête en l'air.. Mieux que voir, observer... La lune se parfaire puis disparaître sans prévenir..  pour revenir.. Mais jamais pour rester.
Attraper les étoiles, les coller sur mes yeux.. des yeux étoilés, les cheveux bouclées volant dans l'air cherchant une finalité, mes lèvres ne font que se mouiller.. J'ai froid... j'ai froid de chaleur... Je ne veux que marcher à travers ces têtes, ces visages inconnus.. Une étrangère hantée... hantée de souvenirs et d'irréalité.. 
Que faire sur terre.. je n'y appartiens pas.. 
Je ne suis qu'un livre qui n'aura jamais lieu.. un livre manquant par choix.. Donc je ne fais qu'accepter..
Je reste là ou on m'a mise.. J'ai les pieds attachés aux pierres.. A chacun son tour pour en ajouter...  A fin de  m'emprisonner, personne n'a jamais enlever le fardeau de mes rêves rien que pour  me convaincre que ce n'est que la vie.. pas le paradis.. Personne ne m'a prise cette main tendue et s'est envolé en me serrant fort.. Oubliant ce que c'est la réalité, ou.. comment on on aurait pu définir la réalité; pour créer notre vie.. notre réalité.. Comprendra qui pourra.. Mais personne ne l'a jamais pu.. Et ceux qui ont compris.. n'y ont pas assez cru pour mériter l'infini.. l'infinité de mes sentiments enflammés.
Une femme rêveuse? condamnez moi oui je vivrai dans mes rêves jusqu'au en faire une vie.. 
La force, c'est méritée.

samedi 17 novembre 2012

Infinité

Je ne sens plus rien. Je ne sais plus rien. Une éternité.. ça me tente d'être là pour voir la fin, mais juste la fin.. Comme sommeiller dans mon berceau et me réveiller sur le cri d'un enfant perdu seul au monde, non pas seul dans son monde, seul au  monde... Son cri frappera les murs de mon cœur calciné.. Peut être fera pousser une fleur ou deux d'une curiosité saine.. bien qu'attristée..
Je me réveillerai pour changer son cri en une mélodie harmonieuse..
Je le chercherai.. je l'arracherai de sous la pluie puissante qui a tout effacé de sa mémoire comme de son cœur épuisé.. Son cœur est tombé.. Perdu.. Reperdu... Que faire? On peut pas blâmer une âme errante cherchant un refuge sans refus...
Je le prendrai sans le sécher... Je laisserai les gouttelettes le refroidir et le geler.. Il sentira ainsi la douleur de l'insouciance, il sentira son corps lui parler..
Je l'embrasserai, j'embrasserai sa peine.. je l'absorberai et je l'enverrai loin envers l'inconnu..
Je lui arracherai les yeux avec les miens, il verra juste une douceur et la joie d'un regard  chagriné..
Je lui tendrai la main, et nous danserons jusqu'au soleil levé.. Je planterai une âme, j'arroserai un coeur.. et je me rendormirai sous mes cinq couettes attendant une nouvelle âme, un nouveau cri... Une nouvelle infinité.

samedi 14 juillet 2012

Lumière

Mon cœur..  mon cœur me trahit.. mon cœur qui s’est forcé à s’oublier, à nier son existence, tellement précieux mais injurié..  ce coté en moi qui cherche à s’évader qui trouve dans la nature des bras qui ne lui sont jamais été ouverts..
Je rêve, oui je rêve de la chaleur, de la sincérité et de la pureté… Dans la pluie  mes secrets se résument.  Ce mélange de transparence et de force, indifférent et cordial. Cet étranger  dont on est habitué. Chuchotant à mes oreilles, provoquant ce désir charnel !!! J’avais envie à chaque fois de chatouiller ses gouttelettes qui coulaient à travers mes cheveux caressant mon crane .. Une adhérence.. corps et âme soudés, je ne pouvais que respirer la liberté, une liberté dont on ignore la réalité, je voulais guère que ça s’arrête, je voulais courir, affronter l’eau pour assainir mon tout , effleurant l’odeur d’une rencontre méritée .. gouttelettes et terre.

La mer n’était qu’agitée , étouffée mais révoltante .. Ce confident que j’ai toujours respecté n’était que d’une bonne compagnie .. Ses secrets m’ont toujours provoquée.. Mes yeux .. fatigués de suivre le rythme et la succession infinie des vagues se levant, cherchant la lune.
Toute ronde, cette créature radieuse  qui ne peut que m’affecter et m’infecter , une beauté absolue, une agressivité ….. Celle qui n’a jamais cessé de me bouleverser et de m’inspirer.. Illuminé par son seul compagnon  ne pouvait que briller.. Ils se possédaient mutuellement, se complétaient pour nous offrir de tels merveilles. Leur narcissisme était légitime .. Comment ne pas l’être ?! L’univers ne serait plus le même sans eux .. unis et réunis !

vendredi 18 mai 2012

F... Comme Fourchette

Ce n'est pas souvent que je regarde une fourchette et que je l'entends me parler.. Sale, elle me dégoûte.. J'oublie que c'est de ma salive qu'elle s'est faite humilier.. Je l'observe encore; quatre espaces, une grande espace, le vide, le néant, solide en métal, elle se déforme pas, seule, une éternité l'attend.. peut être.. plus. Si elle le désire, elle pourrait briser cette assiette, elle pourrait élargir son espace pour atteindre l'infini.. elle pourrait trouer des yeux, laisser des traces incurables. Majestueuse, une belle forme, elle se tient calmement, d'une sérénité énervante, à la fois accablante. Je médite, elle m'écoeure, ma salive y est encore.. Pourrais-je, un sacré moment, embrasser la vérité, admettre  que c'est de ma salive que je suis répugnée?

vendredi 4 mai 2012

Thoughts

There's no doubt that, everytime I look around, I see my own weaknesses spelling around. Having no idea of what the world suppose to run out, I keep thinking of my tragedy, of my crises, of my point of view, I keep considering myself, I keep asking after this feeble heart, this heart needing warmth, seeking for strenght. Nobody understand.. How could they if I can't do It myself..
This life has been so fair, We're the ones ignoring rules, we're the ones looking in the DARKNESS, wishing that we could find light, swimming in the dirt that we pushed ourselves in, and ... And we dare blame the most powerful to justify our mistakes !
They may say, We're not the only ones crawling in this untidy pool.. everybody is enjoying the illusion, every single soul is hanging on taking no heed of the help she needs , of the fact that she's drowning and no one recognize her, everybody is dipping himself. But are you everybody?

mardi 3 avril 2012

Entre nous...


Ça m’était jamais arrivé de tomber sur une masse lumineuse, brillante, dégageant ce qui m’appelle et me repousse, ce qui me blesse et me guérit ! ça m’était jamais arrivé de boire jusqu’à satisfaction d’une source inépuisable.. de me couvrir d’une peau impérissable, prendre plus que donner.. Tout ce que je vois dans leurs yeux, une peur de me blesser, de me laisser tomber  faute de leur prétendu amour indémontrable.. Des mots et des mots que l’attardée en moi ne cesse de croire ! Je bois l’amertume de leurs regards, de leur pitié et, j’assume à peine le fait d’être attirée par mes prétendus semblables.. 
Je ne veux pas l'avouer, mais... Je me suis jetée dans l'inconnu, ou comme on dit 'dans la gueule du loup'. Les chemins se ramifient devant mes yeux, je ne suis plus capable de distinguer le bon. Tout ce qui m'est clair c'est que je dois avoir le courage pour tenter, je dois tenter pour savoir et je dois savoir.. pour dire que j'ai vécu.. Ma peur ne m'empêchera jamais d'avancer de savourer la douceur de la victoire et de rigoler de mes injures.
Ma petite demeure est bien plus compliquée que le monde extérieur qui se définit en 'Hypocrisie' et se réduit en 'Mensonges'.. Une vie peut être me suffira pas pour comprendre la complexité de mon lit, l'innocence de mes peluches, la chaleur de mes couvertures, d'entendre mes murs me raconter l'histoire des siècles passées.

vendredi 17 février 2012


La solitude, le vide, l'amertume d'être 'un', 'un' dans une foule, un entouré de milliers mais toujours seul. Parler n'est certainement pas communiquer. Regarder n'est sans doute pas observer. Entendre est loin de comprendre...

Le monde avance même sans ta présence. Les gens s'en foutent de tes histoires extrêmement personnelles, infiniment égocentriques. Tu veux la paix là où le soleil lance ses derniers rayons, là où le désespoir domine, là où l'arrivée de la chaleur est une bénédiction ! Tu fais semblant de te soucier des autres, tu le crois même... Une hypocrisie, un mensonge éternel pour trouver une place dans tant de visages pour créer des liaisons infernales, pour se sentir entouré et aimé! Aimer, aimer l'autre c'est aimer soit même, c'est une sorte d’égoïsme sentimental, la peur d'être seul! L'éternel conflit entre le toi et autrui résulte un besoin insurmontable de sa présence pour se sentir... pour exister !
Respire... Respire la liberté, l'honnêteté, quand t'es seul, il y'a que la pureté de ton âme avec ses plusieurs façades, avec ses multiples êtres, quand t'es seul, il y'a que le sang de celle-ci qui coulera pour purifier les pêchés, pour assainir toutes ces complexités intolérables mais indéniables qui tiennent contrôle du déroulement de ton existence!
Je veux vivre pour voir un amour pur, saint, innocent... Je veux vivre pour voir des Hommes qui se font la paix, qui ne pensent pas être mais qui sont. Je veux vivre pour toucher un visage nu , pour se noyer dans des yeux  purs, pour que mes lèvres touchent un front humide de perles transparentes, pour caresser des joues pâles et froides... Pour donner sans espérer recevoir… et finir par recevoir. Je veux vivres pour prendre ces mains douces et fuir de ce monde .. Je veux réellement comprendre !